2153 Articles 19 Vidéos + 100 000 Visites / Mois Bouaké, Côte d'Ivoire
En programmant la 4e étape du "Choc des titans" à Bouaké, Jimmy Traoré et son équipe ne croyaient pas si bien faire. En effet, en une soirée pugilistique parfaitement orchestrée, ils ont recréé les mémorables ambiances de boxe qui avaient, par le passé, bercé les populations Bouakéennes.
Du show en présentiel, avec des combats pleins d'intensité, doublé d'une partition artistique brillamment assurée par le Wara boss Abou Nidal. Le tout au grand bonheur de Diaby Aboubakar dit Peter, 5e adjoint au maire, représentant Nicolas Djibo, le premier magistrat de la commune de Bouaké. Responsable des affaires culturelles de la mairie, il a profité pour tresser des lauriers au promoteur Jimmy Traoré qui, par sa caravane, remet au goût du jour là boxe de proximité. "Public de Bouaké, laissez-moi vous dire ceci: Jimmy Traoré est celui qui est en train de faire renaître la boxe dans le cœur des ivoiriens, dans le cœur de Bouaké car nous sommes à Bouaké. Merci d'être là , merci à toute l'organisation », a-t-il apprécié avant la remise du trophée au grand vainqueur de la soirée.
A travers la joie du maire Peter, c'est tout l'intérêt des autorités communales qui s'est traduit autour du "Choc des titans", véritable levier de promotion des talents en herbes et de réinsertion des jeunes. Et le 5e adjoint au maire de revenir sur le contexte de cette remarquable étape, en s'adressant une nouvelle fois à Jimmy Traoré. « On s'est vu à Paris et là-bas, nous avons fait beaucoup de choses. Je suis très heureux de te voir ici ce soir. Merci d'avoir effectué le déplacement", s'est-il exprimé. De fait, les autorités municipales ont pris une part active dans la réalisation du show de samedi dernier, à l'espace Alassane Ouattara, dans une dynamique d'animation socio-culturelle de la ville pendant ces vacances scolaires. Car, une semaine auparavant, le terrain de la SICOGI avait abrité un autre événement d'envergure avec la prestation de l'artiste international Singuila.
K. SEKONGO