2152 Articles 19 Vidéos + 100 000 Visites / Mois Bouaké, Côte d'Ivoire
Directeur de campagne, hier, il avait vendu avec brio le projet de son candidat au sein d’une équipe dynamique et dévouée. Les élections terminées, Kouassi Yao Patrice reste toujours dans le train d’Assahoré Konan Jacques, grand vainqueur du scrutin législatif dans la circonscription de Diabo-Languibonou.
Il a été, d’ailleurs, nommé Directeur du cabinet politique du député Gblo. Un choix qu’il a accueilli avec joie et assume pleinement. « J’ai l’honneur d’être porté à la tête de ce cabinet par pur grâce. Nous étions deux directeurs de campagne, ça aurait pu être l’autre. Pour moi ce qui prime, c’est le Gblo, c’est la population Gblo. C’est une lourde responsabilité. Mais pour avoir géré le cabinet de région avec Jean-Kouassi Abonoua, j’ai la petite expérience et je continue d’apprendre auprès de ce grand monsieur qu’est Assahoré Konan Jacques. Chaque maître, convient-il, a sa méthode de travail ». C’est que ce PDCISTE pur-sang est plus que jamais acquis à la cause de cet homme dont la vision, dit-il, rappelle celle d’un grand homme d’Etat, à savoir feu Koffi Diby Charles. « Je vois en Assahoré, un acteur de développement comme feu Koffi Diby Charles. Ce sont les mêmes efficacités et les mêmes façons de voir. Autour d’Assahoré, il y a une diversité d’obédiences politiques : Eugène Djué (FPI), Watchard Kédjébo qui a son bord, le fédéral FPI et moi-même, leader politique PDCI-RDA ». Il ajoute, en substance, que l’élu Gblo est celui qui met parfaitement en œuvre le slogan de son parti : le vivre ensemble. Catalogué avec ses amis, lors de la campagne électorale, pour leur engagement en faveur du candidat RHDP, Kouassi Yao Patrice se dit conforté dans son choix au regard de l’évolution des choses. De fait, les actions et le leadership d’Assahoré lui donnent raison. « Nous ne nous sommes pas trompés de choix. Je l’affirme et je sais. Parce que j’entends ce qui se dit dans les couloirs. Mes camarades d’autrefois disent que les enfants ont eu trop tôt raison. Et ça va se sentir. Ce que je vois, c’est nulle part ailleurs », se félicite-t-il, le sourire en coin. Il en veut pour preuve la dynamique d’actions de l’élu sur le terrain et les fruits de son lobbying. « Nous profitons au maximum de sa mandature. Diabo qui, jadis, n’avait que la terre rouge, bénéfice, aujourd’hui, de 9 kms de goudron. Tout simplement parce que son lobbying est payant. Par ailleurs, avec l’ouverture d’une agence du Trésor à Diabo, on rapproche l’épargne des parents qui, autrefois, allaient jusqu’à Bouaké. Il y a, également, le collège moderne de Languibonou qui est en train d’être érigé en Lycée. Tout cela est à mettre au crédit d’Assahoré. Il faut être vraiment méchant pour ne pas reconnaître les valeurs d’un tel monsieur », rappelle un Kouassi Yao admiratif de son mentor. Qui, par la création d’un cabinet politique, traduit, selon lui, tout son attachement au professionnalisme. En effet, le cabinet politique est la personne morale. Il traite des sujets importants qu’il soumet à l’appréciation à de l’élu. En retour, ce dernier prend la décision pour l’appliquer. Le cabinet politique, précise son directeur, a aussi qualité pour représenter le député à certaines cérémonies parce qu’il ne peut pas être partout à la fois. On y trouve, en plus du directeur et ses adjoints, des commissions qui renferment des hommes et des femmes compétentes. Tout ce monde est à même de relayer les problèmes auxquels sont confrontées les populations dans le Gblo. C’est un harmonieux travail d’équipe qui épouse la vision du Directeur général du Trésor et de la Comptabilité publique, à savoir que « le groupe est plus fort que le plus fort du groupe ». Enfin, Yao Patrice reste convaincu que le Gblo a beaucoup à gagner avec le député Assahoré dont les actions s’étendent à tout le département de Botro, voire à la région du Gbêkê de façon générale. « Diabo et Languibonou sont en laboratoire. Je pense que ça fait tache d’huile déjà. Aussi l’union est en marche à travers le concept « Force Gblo » qui impacte psychologiquement. D’ici quelques années, nous verrons bien le rayonnement qu’apporte l’élu », assure-il confiant. A noter que le cabinet politique du député s’est réuni, samedi dernier, pour planifier les actions en faveur du développement socio-économique de la localité à l’horizon 2025.
Source : LE MANDAT