Régionales du 2 septembre dans le Gbêkê : JAK EN PÔLE POSITION POUR CONCRÉTISER LE RÊVE DU PRÉSIDENT ALASSANE OUATTARA

Depuis l'ouverture de la campagne le 25 août dernier, la renommée de élu Gblo est monté en flèche dans le Gbêkê. À chaque étape de son parcours,', c'est une population acquise à sa cause qui se rassemble en masse pour et écouter son message. Hier mercredi, aux côtés des candidats Amadou Koné pour la mairie de Bouaké, Justice Euloge Allali, pour la mairie de Djebonoua et Jean-Marc Kouassi, pour la mairie de Béoumi, JAK a passé une avant-dernière journée de campagne sous de bons auspices. En effet, de Lengbré à Béoumi, en passant par Kouassiblekro, Belakro et plusieurs quartiers de Bouaké, JAK a mis en avant son projet de développement du Gbêkê et le bien-être de ses 1 352 900 habitants. À Djebonoua, comme à Béoumi, Bouaké, Sakassou, Bodokro et Brobo, aucune population n'a voulu bouder la présence du député Jacques Assahoré Konan dans sa localité. Laissant présager une victoire certaine au soir du 2 septembre. 

Amadou Koné : "le Gbêkê n'a jamais eu autant de chances pour prendre toute sa place" 

Lors du meeting de Kongodékro, réunissant les 13 villages de la tribu Assézé et les 20 villages du canton N'dranouan, le ministre des Transports, Amadou Koné candidat à la mairie de Bouaké, a fait ressortir le riche potentiel humain de la région de Gbêkê. Indiquant, que tous les responsables des secteurs clés du développement en Côte d'Ivoire sont originaire du Gbêkê. Amadou Koné a fait montre de la grande chance qu'a le Gbêkê sous l'ère du président Alassane Ouattara pour prendre toute sa place de deuxième plus grande ville de la Côte d'Ivoire. « vous avez l'eau, vous avez celui qui est responsable des routes, vous avez celui qui est responsable de l'électricité mais en plus de tout ça celui qui garde l'argent, c'est un fils de Gbêkê. il faut tout faire pour qu'il est l'entente. le Gbêkê n'a jamais eu autant de chances pour prendre toute sa place. parce que on a pas encore pris toute notre place », a-t-il suggéré. Non sans inviter les deux cantons à prendre leur part dans le développement qui sera déployé dans le Gbêkê en plaçant leur confiance en eux. “Faites-nous confiance pour qu'on puisse travailler pour que la porte d'entrée de Bouaké reflète le Bouaké nouveau que nous voulons ». 

Les élections bouclées à midi 

Pour Amadou Koné, à partir de midi, il ne doit plus y avoir d'élections. C'est ce qui a secondé la mission qu'a confiée le ministre des transports à la jeunesse du N'drannouan et de l' Assezé. «Les jeunes, je voudrais vraiment vous demander à continuer de rentrer dans les quartiers, dans les maisons. Aller expliquer pourquoi il faut voter pour Jacques et pourquoi il faut voter pour Amadou. Et quand vous allez finir de faire ça, il faut leur montrer comment on vote Jacques Assahoré et comment on vote Amadou Koné. À partir de midi, on doit finir les élections ici. tout le monde doit pouvoir voter avant midi. »

Béoumi : Entrée triomphale du candidat Jean Marc Kouassi 

Lors de cet autre rendez-vous de la journée de l'honorable Jacques Assahoré Konan, le candidat à la mairie de Béoumi, Jean-Marc Kouassi a étonné plus d'un à son arrivée sur la pelouse du terrain GOLY du quartier Baoulé. Vêtu d'une tenue de sport et chaussé d'une paire de “ lêkê”, JMK tel un sprinteur a fait une entrée spectaculaire aux pas de courses sur la place du meeting. Porteur, lui aussi, d'un message de développement, le maire sortant a marqué sa volonté de poursuivre ses ambitions d'une commune où il fait beau vivre. « Je suis candidat pour pouvoir tout simplement achever le beau travail que nous avons commencé. Le beau travail concernant la voirie, les établissements scolaires, les centres hospitaliers, l'électrification des villages, l'adduction en eau potable de toutes les localités. La priorité, c'est d'aider nos maman à exercer des activités génératrices de revenus, d'aider les jeunes à se prendre en charge. C'est pour ça que moi Jean Marc Kouassi, je fais la politique», a-t-il indiqué. Ajoutant que le 2 septembre, il faut que les efforts du président Alassane Ouattara paient dans le Gbêkê.

K. SEKONGO