1933 Articles 19 Vidéos + 100 000 Visites / Mois Bouaké, Côte d'Ivoire
Le premier responsable du Trésor ivoirien s’inscrit dans la vision du président de la République, SEM Alassane Ouattara, qui a fait du vivre ensemble son cheval de bataille. Aussi, lui emboîtant le pas, Assahoré Konan Jacques plaide pour l’union à Bouaké, capitale de la région du Gbêkê. « Bouaké, c'est une ville cosmopolite ; Bouaké c'est les États-Unis de Côte d'Ivoire. Tout le monde se retrouve à Bouaké. Nous devons être Unis, travailler dans la solidarité, dans l'union et la concorde », a-t-il recommandé.
Député de Diabo-Languibonou, l’enfant de Bouké se désole, de fait, de toute ces rancœurs qui gagnes les populations. Dans la mesure où, dit-il, « le président de la République travaille à ce que nous vivions ensemble. Bouaké doit être le point de départ de ce vivre ensemble qu’il prône ». Pour Assahoré Konan Jacques, par ailleurs délégué départemental RHDP de Bottro, chaque habitant de Bouaké, sans considération d’ethnies (Baoulé, Dioula, Wobê, Gueré, Bété etc.) doit se battre pour sa pitance quotidienne mais aussi et surtout se battre pour que les uns et les autres travaillent dans la concorde, main dans la main.
C'est, selon lui, le gage du développement de la Côte d'Ivoire. « On ne peut pas construire un pays dans la division. Aucun pays ne se construit dans la division. Tout le monde connaît l'histoire du Rwanda. Les gens se sont tués. Mais, aujourd'hui, tout le monde cite le Rwanda en exemple. On n’a même pas atteint le tiers de ce que le Rwanda a vécu. Et pourtant, ils ont oublié », a souligné le parlementaire. Avant de faire ce plaidoyer : « Je demande à Bouaké d'oublier les rancœurs et de travailler la main dans la main pour qu’elle de sa léthargie. Bouaké est la deuxième ville de la Côte d'Ivoire, le chef de l'état est en train de tout faire pour que Bouaké retrouve son lustre d'antan. Vous voyez les grands travaux en réalisation ici. Les industries vont bientôt s'implanter ici. C’est pour que la ville retrouve son lustre d’antan. Mais tout cela, précise-t-il ne servira à rien si nous Bouakéens, nous avons encore de la rancœur les uns envers les autres ».
Par cette déclaration lourde de sens, le leader Gblo marque, une fois de plus, son engagement pour une société de paix, socle d’un développement harmonieux et inclusif.
MARIUS DE GNALEY, avec L.K.