BOUAKÉ/ LE Mouvement Nouvel Esprit de Bouaké-Côte d'Ivoire (MONEBO-CI) lance ses activités en présence de l'honorable Assahoré

En parfaite adéquation avec sa vision politique pour le Gbêkê, le député de Diabo-Languibonou a accepté d'accompagner le MONEBO-CI. « L'idéal de mon jeune frère, c'est de faire en sorte que Bouaké retrouve la cohésion qu'elle a connue et je m'inscris parfaitement dans cette vision. parce que je veux être président du conseil régional, le premier axe majeur de ma stratégie c'est d'unir les Bouakoises et les Bouakois », a révélé révélé Jacques Assahoré Konan 

Candidat à la présidence du conseil régional de Gbêkê, le Directeur général du Trésor et de la Comptabilité publique n'a pas manqué de souligner que les candidatures du Rhdp dans la région sont celles de la lutte contre la pauvreté, la précarité des parents. Elles obéissent, selon lui, à une volonté manifeste du président de la République d'impulser un développement accéléré au Gbêkê, de faire en sorte que les populations qui vivent dans cette partie de la Côte d'Ivoire connaissent le bonheur et la prospérité. En d'autres termes, il a exhorté les membres de MONEBO-CI à soutenir les neuf chevaux du Gbêkê et de faire en sorte qu'au soir du 02 septembre, le ministre Amadou Koné soit élu maire de Bouaké et lui-même président du conseil régional. 

Porté sur les fonts baptismaux pour réduire le faussé qui existe entre les populations et les autorités politiques locales, le Mouvement Nouvel Esprit de Bouaké-Côte d'Ivoire (MONEBO-CI), dirigé par Silué Yaya ambitionne, pour ce faire, d'instaurer à travers ses activités la paix, la solidarité, la fraternité, l'hospitalité prônée par le père fondateur de la nation feu Félix Houphouët-Boigny pour que tous les filles et fils de Côte d'Ivoire ainsi toutes ces personnes qui souhaiteront intégrer la société puissent se sentir chez-elles.

À en croire le président Silué Yaya, le mouvement se veut aussi une plateforme de formation, d'orientation et d'insertion socioprofessionnelle des jeunes et des femmes.

K. SEKONGO