GBÊKÊ/ Cohésion sociale : Des leaders de jeunesse Pro-Assahoré et Pro -Amadou ensemble -« Parlons peu pour laisser parler nos actions »

À l'occasion de la visite de Sekongo Félix après son élection, Attro Kouassi Victorien a exprimé sa satisfaction quant à l'honneur et à l'amitié témoignée par le président de la JCB, qui a accepté son invitation. Il a fait part de sa volonté de collaborer avec son homologue pour donner un nouvel élan de développement à la région. « Je suis heureux pour votre élection. J'ai même commencé à promouvoir votre installation prévue pour le 8 septembre prochain. C'était dans l'optique d'appeler mon frère, que vous êtes, à s'associer pour faire avancer la région », a-t-il déclaré.

Attro Kouassi Victorien a ensuite invité Sekongo Félix à éviter les polémiques et à se concentrer sur des actions concrètes. « Il y a une jeunesse mature et consciente dans notre région, au sein du district autonome de la vallée du Bandama. Nous agirons comme des frères, et personne ne pourra nous diviser. Tout propos déplacé ne viendra pas de ma part. En cas d'incompréhension, je vous prie de me contacter au préalable. J'aimerais que nous parlions peu et que nous laissions nos actions parler pour nous », a-t-il ajouté.

De son côté, Sekongo Félix a affirmé : « Si nous voulons être les dirigeants de demain, c'est dès maintenant que nous devons nous unir en mutualisant nos forces. Je suis très attaché à la fraternité. Donnons une nouvelle lecture de la politique à nos aînés. Nous sommes prêts à cheminer ensemble et à faire la fierté de la jeunesse. Agissons avec responsabilité pour que ceux qui cherchent à nous diviser échouent. »

Cette coopération entre la JCRG et la JCB témoigne de la volonté des deux présidents de rassembler l'ensemble de la jeunesse de la région de Gbêkê, indépendamment des appartenances politiques, ethniques, culturelles ou religieuses. Elle permettra sans aucun doute de soutenir les politiques de développement mises en œuvre dans les huit communes de la région, en vue d’un véritable essor économique grâce à la participation active de la jeunesse.

K. S