Pâques 2022/ Le Centre culturel Jacques Aka de Bouaké crée l'évènement "Eskal Pâquinou"

SEKONGO Kassim Jeu 14 Avril 2022 culture [82 articles] 1249 Vue(s)
Pâques 2022/ Le Centre culturel Jacques Aka de Bouaké crée l'évènement "Eskal Pâquinou"
A Bouaké, la Pâques 2022 a une adresse. Il s'agit du Centre Culturel Jacques Aka, qui crée l'évènement à l'occasion de cette fête incontournable en pays Baoulé. Avec Eskal Pâquinou, c'est le divertissement sur fond culturel.

Pendant trois jours, du 14 au 16 Avril, le temple de la Culture de Bouaké mettra un point d'honneur à  la célébration de la Pâques 2022. A travers, notamment,  "Eskal Pâquinou",  un concept novateur,  soutenu par le Ministère de la Culture et de l'Industrie des Arts et du Spectacle.

 

 

"Eskal Paquinou" un nouveau concept dans un nouveau contexte qui est de permettre aux populations venues des quatre coin du pays ,de passage à Bouaké de prendre un avant goût de l'ambiance des festivités de la pâques avant de rallier leurs villages respectifs. C'est l'ambition affichée par les  promoteurs de ce rendez-vous culturel. 

En effet, Comoé Koua Honorat. Directeur du centre Culturel Jacques Aka, et son équipe ont concocté un riche programme pour les populations et amateurs d'arts sur les vagues de Pâques. "Les industries culturelles et créatives: le défi des contenus", c'est la thématique centrale de ces trois journées  pascales qui se veulent à la fois festives et instructives. 

 

 

En témoigne la carte menu:  maquis géants, village artisanal, concours de proverbes,, prestations d'artistes, conférences. Autant dire des ingrédients à même de mobiliser les foules et offrir des pâques inoubliables 

 

 

 

A travers "Eskal Pâquinou", le Centre Culturel Jacques Aka de Bouaké démontre et confirme sa capacité à proposer des plateformes interactives, en adéquation avec l'orientation du Ministère de la Culture et de l'Industrie des Arts et du Spectacle.

 

 

Des initiatives de proximité qui ont le mérite de familiariser les populations avec l'art et la culture.

 

 

K. SEKONGO 

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